L’issue du second tour de l’élection présidentielle en Turquie aura des implications pour un large éventail de dossiers primordiaux pour Moscou. Et si le président russe Vladimir Poutine pouvait voter, il le ferait volontiers pour son homologue sortant, Recep Tayyip Erdogan.
Si le dirigeant russe Vladimir Poutine pouvait voter lors du second tour de l’élection présidentielle en Turquie dimanche, nul doute qu’il glisserait dans l’urne un bulletin pour son homologue sortant, Recep Tayyip Erdogan. De l’Ukraine à la Syrie, en passant par l’élargissement de l’Otan et l’exportation des hydrocarbures russes, l’issue du scrutin en Turquie aura des implications pour un large éventail de dossiers primordiaux pour Moscou.