Mehdi al-Chayech pensait pouvoir rapidement retourner chez lui après la chute de Bachar al-Assad, mais, à l’instar de dizaines de milliers de Syriens vivant dans des camps de déplacés, il a trouvé sa maison inhabitable, bombardée pendant la guerre.
«Nous étions incroyablement heureux lorsque le régime est tombé», lance ce quadragénaire depuis son habitation formée de blocs de béton dans le camp d’Atmé dans la province d’Idleb, dans le nord-ouest de la Syrie.