Au cours de la première audience de son procès, qui s’est tenue ce jeudi devant le tribunal central de Séoul, le président sud-coréen Yoon Suk Yeol, accusé d’«insurrection», a soutenu qu’il avait agi pour empêcher une «dictature législative».
La première audience du procès pénal du président sud-coréen Yoon Suk Yeol, accusé d’«insurrection» pour avoir tenté d’imposer la loi martiale en décembre, s’est tenue ce jeudi devant le tribunal central de Séoul, dans une salle bondée et sous d’importantes mesures de sécurité. Consacrée essentiellement à des questions de procédure, elle s’est achevée environ 90 minutes plus tard.