La rapporteure spéciale sur la situation des défenseurs des droits de l’homme s’est dite « profondément déçue » par le traitement réservé aux défenseurs des droits humains en Algérie, citant nommément plusieurs cas dont celui du journaliste indépendant Merzoug Touati.
Mary Lawlor s’est insurgée, dans un communiqué, que les défenseurs des droits humains « continuent d’être arrêtés arbitrairement, harcelés par la justice, intimidés et criminalisés en raison de leurs activités pacifiques en vertu de dispositions pénales formulées en termes vagues, telles que +porter atteinte à la sécurité nationale+ ».
L’experte, mandatée par le Conseil des droits de l’homme et qui ne s’exprime pas au nom de l’ONU, a indiqué être « en contact avec le Gouvernement de l’Algérie ».