Les préjudices sexuels en ligne, un phénomène inquiétant qui touche près d’un enfant sur trois

Les préjudices sexuels en ligne, un phénomène inquiétant qui touche près d’un enfant sur trois

Selon une étude publiée lundi 12 juin par « We Protect Global Alliance », un jeune de 18 ans sur trois aurait déjà connu un préjudice sexuel en ligne.Celui-ci peut prendre la forme d’envoi non consenti de photos ou vidéos, d’abus sexuels ou bien de « grooming ».

Pour l’instant, la réglementation demande aux plateformes d’agir sur la base du volontariat. Mais ce n’est pas suffisant, alerte les acteurs de la protection de l’enfance.
C’est sûrement une des plus grandes craintes des parents au moment où leur enfant commence à découvrir le numérique avec leur premier téléphone portable ou sur un ordinateur. A la machine à café comme dans les dîners, tous se questionnent sur cette problématique commune : « Comment éviter qu’un enfant tombe sur un contenu constituant une agression pour lui ? ».

C’est dans d’autres termes ce qu’on appelle un préjudice sexuel en ligne. Parmi ces actes, on retrouve l’envoi de contenus ou d’images sexuellement explicites - la plupart du temps sans leur consentement - ou la demande d’actes sexuels. Ces préjudices se font la plupart du temps d’un adulte vers un enfant, et dans une minorité des cas entre enfants.

cndp

Déclaration N° : D-NL-189/2020

Dossier presse : 2022/02

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