Il est pris qui croyait prendre… Cybermalveillance.gouv.fr, une plateforme gouvernementale supposée prévenir les actes de cybermalveillance, a elle-même été victime d’une « usurpation d’identité » à des fins d’arnaque de masse, rapporte Clubic.
Ce service en ligne a pour vocation, entre autres, de prévenir les Français des campagnes malveillantes au moment où elles commencent à se répandre par courriel ou SMS.
Mais comme les cordonniers sont toujours les plus mal chaussés, c’est pour informer les usagers de son propre « détournement » qu’il s’est adressé à eux, sur son site et sur les réseaux sociaux, dès le lundi 1er juillet 2024.