Le Conseil national des droits de l'Homme (CNDH) a révélé que le site rupestre dans la commune de Taghjijt, la province de Guelmim, n'a pas été soumis à des actes de destruction. Cette annonce a suivi des enquêtes de terrain menées par la Commission régionale des droits de l'Homme à Guelmim–Oued Noun, vendredi 24 octobre, après que des allégations ont circulé concernant l'endommagement de l'un des sites archéologiques les plus importants de la région.
Dans ce contexte, des acteurs de la société civile ont appelé au sauvetage du site archéologique, arguant que des bulldozers avaient commencé sa destruction. Dans un communiqué, le CNDH a expliqué que la CRDH s'était rendue sur place pour évaluer la situation. Il s'est avéré que le site archéologique était en bon état, mais montrait les traces de roches enlevées du bord de la montagne, ce qui suggère que des activités à proximité pourraient constituer une menace future.


