Au Maroc, le réseau autoroutier est sous pression : entre dette abyssale et modèle économique sous tension, l'heure est aux arbitrages.
Face à une dette structurelle qui pèse sur la Société nationale des autoroutes du Maroc (ADM) et à une rentabilité inégale selon les régions, le gouvernement explore de nouvelles pistes pour rétablir l'équilibre financier.
Parmi les solutions envisagées, la révision à la hausse des tarifs de péage est sur la table, une option qui ne manquera pas de susciter de vifs débats.