De l’atteinte au droit au respect de la vie privée, avec l’affaire Pegasus aux arrestations liées à la liberté d’expression et d’association, le rapport d’Amnesty International sur les droits humains au Maroc en 2021, publié cette semaine, réserve même une partie aux violations ayant touché des militants pro-Polisario au Sahara.
Amnesty International a publié, mardi, son rapport annuel sur la situation des droits humains, en réservant une partie au Maroc. L’ONG revient ainsi sur les violations des droits ayant le plus marqué l’année 2021, pointant du doigt, entre autres, des atteintes à la liberté d’expression et d’association