Le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation, Abdellatif Miraoui, a annoncé que son département travaillait actuellement en collaboration avec le ministère des Affaires étrangères et l’ambassade d’Ukraine au Maroc pour réviser certaines dispositions de la loi régissant l’examen du « Krok ». L’objectif est de rechercher d’autres moyens pour permettre aux étudiants de passer cet examen au Maroc, et qui exige normalement leur présence sur place.
Miraoui réagissait à une question de l’Union nationale du travail au Maroc (UNTM), dont Hespress a obtenu une copie, concernant le sort des étudiants marocains après qu’une information ait largement circulé et selon laquelle les universités ukrainiennes obligent les étudiants marocains à passer le « Krok » en présentiel, surtout que cet examen est crucial pour leur parcours académique dans les domaines de la médecine, de la pharmacie et de la médecine dentaire.