L’intervention des forces publiques marocaines pour interdire des rassemblements auxquels ont appelé des parties inconnues, le week-end, a été « équilibrée, graduée et non violente », a estimé Louis-Marie Bouaka, ancien représentant du Haut-commissaire des Nations Unies aux droit de l’Homme.
« Ce qui distingue le cas marocain dans la gestion de cette situation c’est la méthode préventive et pacifique », a souligné, dans une déclaration à la MAP, M. Bouaka, membre du Conseil scientifique de l’Institut international d’études géopolitiques (IIEG), basé à Montpellier.