Cette semaine, la justice espagnole a entendu toutes les personnes mêlées à l’affaire du rapatriement illégale de mineurs marocains depuis Sebta, après la vague migratoire de 2021 qui avait connu un afflux de personnes vers le préside occupé, dont plusieurs mineurs non accompagnés. Deux responsables espagnoles sont dans le viseur de la justice.
Les faits remontent à août 2021, lorsque une cinquantaine de mineurs marocains ont été reconduits à la frontières depuis Sebta, sans respecter la législation espagnole et sans respecter l’accord bilatéral de 2007 qui facilite le rapatriement des mineurs.